Dans les territoires temporairement occupés, leurs enfants ont été enlevés… séparation adultes-enfants en camp de filtration, camps de vacances en Crimée sans trajet de retour, enlèvement dans des orphelinats… autant de prétextes fallacieux pour dérober les enfants et les déporter en Russie pour une adoption au pas de charge depuis la réforme de la procédure.

La déportation des enfants est un élément fort de génocide.

Un processus pour perdre toutes traces de nationalité ukrainienne et favoriser une adoption russe sous 24h.

Un processus savamment orchestré par Maria Lvova-Belova, aujourd’hui sous mandat d’arrêt de la Cour Pénale Internationale pour des crimes de guerre.

A l’instar de cette mère, certaines vont parcourir des milliers de kilomètres en passant par le nord de l’Ukraine pour aller récupérer leur enfant.

Les autorités ukrainiennes estiment le nombre d’enfants enlevés à 740 000, 19500 selon Le Commissaire des Droits de l’Homme et moins de 400 revenus chez eux ! (juillet 2023)

Vous pouvez consulter en temps réel les chiffres du gouvernement ukrainiens en cliquant ici